📅 Ce 10 décembre, les gérants et les cuisiniers des compagnies de la Zone Ouest étaient réunis au Mans pour une formation à la lutte contre le gaspillage alimentaire. 🍃
🎯 Il y a deux leviers pour donner envie d’agir :
🔷 Les formations professionnelles
🔶 Les diagnostics
Les deux créent un éveil ou un réveil personnel et professionnel à la possibilité de faire autrement, de sortir d’une forme d’inertie ou de fatalisme.
💬 « Prise de conscience, remise en question, sens » : ce sont les verbatims des cuisiniers et gérants des MESS (restaurants) des Compagnies de l’Ouest.
🎓 Les formations permettent de prendre conscience des enjeux. Des ateliers d’intelligence collective mettent les stagiaires en posture d’acteur.
Une formation, c’est une transmission : elle doit être conçue et animée par quelqu’un qui connaît et aime le terrain, les métiers, les hommes et les femmes qui les exercent. Pas par un consultant qui glane des infos sur internet.
🔎 Second levier pour agir : des diagnostics précis, sincères et exhaustifs.
On quantifie le gaspillage et on caractérise chaque déchet.
Des vrais diags : on trie et on pèse tout « à la mano ».
Des diags qui permettent de visibiliser concrètement — dans des seaux, dans des sacs — la réalité du gaspillage.
⚡ Effet immédiat : « on ne se rendait pas compte ! »
Et parfois des surprises sur les composantes d’un repas les plus gaspillées… !
📉 Les taux de gaspillage des Compagnies Républicaines de Sécurité que nos diagnostics révèlent sont largement inférieurs à ceux constatés en restauration scolaire et de santé.
🔄 Les causes de gaspillage sont complexes et nous allons les réduire ensemble dans le cadre de la réforme des MESS portée par la direction centrale des CRS au ministère de l’Intérieur.
🚀 FORMATION > ACTION !
🎁 D’ici au 24 décembre, EQOSPHERE propose 5 mini audits offerts à des entreprises ou des collectivités locales.
👉 Pour savoir par où commencer, comment accélérer.
📣 Contactez-nous pour passer à l’action ou surpasser les actions déjà mises en place !
Le point de vue de Xavier Corval, fondateur d’EQOSPHERE
Dans quel cadre❓
Celui de l’élaboration de 🗓️ 𝐥’𝐀𝐠𝐞𝐧𝐝𝐚 𝟐𝟎𝟑𝟎 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐠𝐚𝐬𝐩𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 en cours à l’Assemblée nationale🏛️, sous la conduite du député de la Mayenne 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐆𝐚𝐫𝐨𝐭🥇
✅Plus précisément :
Je réunis les 𝐬𝐲𝐧𝐝𝐢𝐜𝐚𝐭𝐬 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐲𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐲𝐞́𝐬 en tant qu’animateur du groupe de travail « 𝐌𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬 : 𝐑𝐒𝐄 / 𝐑𝐒𝐎 / 𝐑𝐒𝐓.»(Responsabilité sociétale des entreprises, des organisations publiques, des territoires)🤝
Pourquoi❓
➡️Par respect des « corps intermédiaires » que sont les syndicats⚖️ ➡️Parce qu’il me parait indispensable de les associer afin d’opérer une « bifurcation massive et définitive » de notre société pour la réduction du 𝐠𝐚𝐬𝐩𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞🚀 ➡️Par expérience : dans le cadre des programmes de réduction du gaspillage et des déchets alimentaires mis en œuvre par EQOSPHERE, il m’est arrivé de nombreuses fois de constater la sensibilité des syndicats à ce sujet.
Une anecdote significative que j’évoquerai : l’intervention d’un 𝐝é𝐥é𝐠𝐮é 𝐬𝐲𝐧𝐝𝐢𝐜𝐚𝐥 lors d’un point avec Martin Hirsch et 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐆𝐚𝐫𝐨𝐭 à 𝐥’𝐇𝐨̂𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐏𝐢𝐭𝐢𝐞́ 𝐚̀ 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 en 2019🏥
De nombreux autres syndicats seront présents. Le pôle RSE et le pôle social du Mouvement des Entreprises de France seront représentés. L’accord national interprofessionnel axe Transition écologique sera réévalué début 2025.
Cette rencontre que je souhaite depuis longtemps, c’est aussi l’illustration des valeurs de l’entreprise sociale EQOSPHERE : coopération et concertation.
C’est la 1ère fois🥇que les syndicats sont conviés et réunis dans une enceinte institutionnelle pour être associés à la co-construction d’une politique publique qui a émergé en 2013 : celle de la lutte contre le gaspillage alimentaire.
Nous venons de vivre bien plus qu’un moment clé : un véritable sursaut collectif. En effet, le 16 octobre dernier, la Journée mondiale de l’Alimentation et la Journée nationale de Lutte contre le Gaspillage Alimentaire ont fait battre le cœur du pays à l’unisson.Ce jour-là, la France a parlé d’une seule voix : celle du respect, de la solidarité et de la responsabilité face à la nourriture. Loin d’une simple commémoration, cette date a marqué une véritable prise de conscience nationale. Elle a rappelé, avec force, l’urgence d’agir et la puissance de l’engagement collectif.
Cependant, cette lutte ne se limite pas à un jour. Elle s’inscrit dans le temps, portée par détermination inébranlable, tissée depuis plus de treize années en France. C’est une politique publique structurante, bâtie pas à pas, qui appelle aujourd’hui un engagement total. Parce que préserver notre nourriture, c’est aussi préserver notre avenir.
C’est Guillaume Garot, député de la Mayenne et ancien ministre de l’Agroalimentaire, qui en est le principal héraut politique. Son initiative, lancée en décembre 2012, a marqué le point de départ d’une transformation nationale.
Six mois avant ce premier élan, l’entreprise sociale EQOSPHERE voyait déjà le jour, animée par la même énergie. Transformer la prise de conscience face au gaspillage en action collective. Dès lors, nous travaillons main dans la main avec des acteurs publics, privés et associatifs.
L’Épopée Législative : Quand le Cœur Change la Loi
Un grand pas est franchi avec le 1er Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire en juin 2013. Un moment fondateur auquel nous avons eu l’honneur de participer activement en tant que rapporteur du Comité de pilotage. Mais la véritable onde de choc, le signal fort que la France ne reculerait plus, est arrivé en février 2016 avec la Loi Garot. Détruire volontairement de la nourriture propre à la consommation humaine est alors devenu un délit. Nous avons inscrit l’éthique au cœur de notre droit.
Depuis, cet élan s’est renforcé. Les lois AGEC et EGALIM ont étendu l’obligation morale et légale à l’industrie agroalimentaire et à la restauration collective, exigeant de toutes et tous un diagnostic pour initier une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire. Nous ne pouvons plus fermer les yeux sur les pertes qui se produisent tout au long de la chaîne.
Plus récemment, avec la Loi Climat et Résilience, à la demande inspirante de la ministre de l’ESS Olivia Grégoire, EQOSPHERE a apporté son expertise pour nourrir des propositions favorisant les coopérations innovantes sur les territoires. Car le changement ne vient pas d’un seul lieu, il naît du maillage de l’intelligence et de la coopération.
EQOSPHERE : L’Expertise de Terrain
Cette continuité politique est le miroir de l’engagement constant d’EQOSPHERE : bureau d’études techniques et organisme de formation pionniers, devenus un partenaire de confiance de l’État et des grands groupes, et surtout un acteur de terrain présent depuis le tout premier jour.
Notre action est fondée sur des résultats tangibles. Elle s’appuie sur une longue année d’expérimentations éprouvées, de diagnostics précis, d’innovations concrètes et de partenariats exceptionnels. EQOSPHERE a contribué activement à la co-rédaction de stratégies régionales puissantes, comme la stratégie « Économie circulaire et Loi contre le Gaspillage Alimentaire » pour la Région Île-de-France, et le « Plan d’actions de lutte contre le gaspillage et les pertes alimentaires » de la Région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces documents représentent des feuilles de route concrètes pour un avenir plus juste.
Aujourd’hui, nous poursuivons notre mission de contribution et de structuration des politiques publiques, en participant activement à l’élaboration de « l’Agenda 2030 de la Lutte contre le Gaspillage Alimentaire » à l’Assemblée nationale, où nous coordonnons les groupes de travail.
Plus que jamais, nous sommes en première ligne pour accompagner celles et ceux qui refusent l’inertie, qui veulent dépasser les blocages et optimiser les résultats qui plafonnent. L’heure n’est plus à la petite action isolée, mais à la mobilisation générale.
C’est Notre Moment : Engageons la Transformation Collective !
Nous avons tracé le chemin, posé les lois et développé les outils nécessaires grâce à un travail de fond et à des réformes successives. Aujourd’hui, c’est vous qui tenez le levier de l’engagement de la « transition sociétale et alimentaire ».
Entreprises, collectivités, acteurs publics, « consommateurs », votre engagement est déterminant. Nous reconnaissons et saluons la mobilisation de tous ceux qui sont déjà en action. Pour vous, comme pour ceux qui se préparent à s’engager, c’est le moment historique d’intensifier nos efforts pour construire ensemble les solutions de demain. Celles qui feront la différence sur le terrain et se reflèteront positivement dans vos bilans financiers, environnementaux et de responsabilité RSE RSO.
Ce 5 Novembre, l’air vibrait d’une énergie particulière au Pharo, face à la Méditerranée. Nous étions réunis, plus d’une centaine d’acteurs de terrain et éco-organismes, pour un événement qui n’est pas qu’une simple rencontre, mais un véritable combat : les speed meetings : « Économie Circulaire, filières REP et réemploi ». Organisé main dans la main par ESS France, la Métropole Aix-Marseille-Provence et la CRESS Sud, cet événement nous a rappelé une chose essentielle : la transition écologique, ici, n’est plus un concept, c’est une accélération visible et palpable.
Le dirigeant d’EQOSPHERE, vice-président de la CRESS, était présent aux côtés de Vincent Ochier, directeur Economie circulaire de la Métropole et de Aurore Médieu, responsable Transition écologique d’ESS France, pour introduire la rencontre.
Nous savons tous, au fond de nous, que le modèle linéaire du « prendre, fabriquer, acheter, jeter » est à bout de souffle. Chaque jour, la réalité nous frappe de plein fouet : la destruction d’un produit invendu génère un volume d’émissions de gaz à effet de serre considérablement supérieur à ce que représente sa simple réutilisation. Ce n’est pas qu’une constatation, c’est une « tragédie environnementale » que nous avons le pouvoir d’arrêter.
De la parole aux actes : la coopération entre la Métropole Aix-Marseille-Provence et la CRESS Provence-Alpes-Côte d’Azur
L’engagement au cœur de cette rencontre, c’est le partenariat exemplaire entre la Métropole et la Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire (CRESS). Cette coopération n’est pas un accord de façade. Elle est l’illustration qu’en mettant l’intérêt général au centre, on peut démultiplier les solutions.
Nous saluons l’approche proactive de la Métropole, qui ne se contente pas d’observer. Elle a activement cherché à comprendre l’ESS, ses capacités d’innovation, pour créer un pont durable via la commande publique. Imaginez l’impact : le pouvoir d’achat public devient un moteur de développement local pour les acteurs du réemploi. C’est un double objectif gagnant-gagnant : faciliter des solutions concrètes pour les politiques publiques, tout en contribuant au développement économique et social de notre territoire.
Votre rôle face à l’obsolescence programmée
La Loi AGEC (2019)a posé un jalon historique en interdisant aux professionnels de détruire leurs produits invendus non alimentaires. Cela crée un gisement considérable de produits à sauver, pour les filières du réemploi et du recyclage. Meubles, jouets, équipements électroniques, matériaux de construction… toutes ces filières étaient représentées, fortes de leur mission.
Pourtant, un bémol a rappelé le chemin qu’il nous reste à parcourir : l’absence criante de l’éco-organisme textiles. Comment ignorer le drame de la « fast fashion », de ces montagnes de vêtements jetés après quelques usages ?
Votre engagement est désormais la clé. Devant le sort d’un produit jeté pour une simple imperfection ou face à l’accélération de l’obsolescence, la colère monte. Cette frustration est notre moteur : il est temps que nous la canalisions ensemble pour en faire une force d’action concrète.
Agissons, ensemble, dès aujourd’hui !
Ce n’est pas aux seuls acteurs publics de faire le travail. Nous avons la responsabilité de soutenir cette dynamique.
Vous êtes consommateur : privilégiez l’achat d’occasion et le réemploi. Soutenez les structures de l’ESS qui sauvent ces produits !
Vous êtes professionnel : intégrez les critères d’économie circulaire dans vos appels d’offres et vos achats. Cherchez activement les acteurs locaux du réemploi.
Définissez dès maintenant votre action concrète ! C’est le geste que nous attendons tous, car ensemble, nous ferons de l’Économie Circulaire en Provence bien plus qu’une simple transition : une véritable révolution du cœur et de la raison.
Le gaspillage alimentaire en restauration collective n’est pas une fatalité. Il résulte de causes identifiables, mesurables, et donc corrigibles. En France, jusqu’à 350 grammes de nourriture par convive et par repas peuvent être gaspillés, soit un volume important de pertes inutiles tant sur le plan économique qu’environnemental.
Depuis 2012, EQOSPHERE accompagne collectivités, entreprises et grands groupes dans la réduction durable de ces pertes alimentaires. Cette démarche génère non seulement des économies budgétaires importantes, mais aussi un impact écologique positif et une mobilisation collective forte.
Comprendre les causes principales du gaspillage alimentaire
Le gaspillage alimentaire en restauration collective est souvent le résultat d’une inadéquation entre l’offre proposée et la demande réelle des convives. Cette absence de correspondance entraîne un rejet important de nourriture. Parmi les causes les plus fréquentes, la difficulté à prévoir précisément le nombre de convives complique la gestion des quantités à préparer. À cela s’ajoute parfois un référentiel de grammages inadapté qui ne correspond pas aux besoins réels des usagers. Par ailleurs, des menus peu adaptés aux préférences alimentaires spécifiques, telles que des régimes végétariens ou des allergies, accentuent le gaspillage. La coordination insuffisante entre les différents services, notamment entre le personnel soignant et la cuisine, peut aussi causer des pertes. Enfin, une culture anti-gaspillage insuffisante, voire inexistante, limite les initiatives durables sur le terrain.
Ces facteurs combinés aboutissent à un gaspillage alimentaire moyen de 70 grammes par convive et par repas dans le secteur, ce qui représente un coût économique élevé et un impact environnemental majeur.
Le rôle clé d’EQOSPHERE dans la lutte contre le gaspillage
Depuis 2012, EQOSPHERE accompagne collectivités, entreprises et grands groupes pour réduire durablement ces pertes inutiles. Grâce à une méthodologie rigoureuse, la société réalise un diagnostic approfondi, à la fois quantitatif et qualitatif, afin d’identifier précisément les causes spécifiques à chaque structure.
Un plan d’actions co-construit avec les équipes locales est ensuite déployé. Ce dernier comprend notamment des formations destinées à sensibiliser et professionnaliser les agents pour créer une adhésion collective forte et durable. Le suivi régulier des indicateurs clés permet d’ajuster les actions pour maintenir et amplifier les résultats obtenus.
Des résultats tangibles et mesurables
Les établissements accompagnés par EQOSPHERE constatent couramment une réduction du gaspillage alimentaire comprise entre 40 et 60%. Cette baisse significative génère des économies budgétaires notables et contribue à la réduction des volumes de déchets, participant ainsi à un impact écologique positif.
Nous allons vers une transformation durable des pratiques ! Le changement n’est pas qu’une ambition : il s’appuie sur des méthodes éprouvées qui transforment les contraintes en véritables opportunités. EQOSPHERE s’engage à accompagner ses partenaires pour construire un modèle alimentaire responsable, économiquement viable et respectueux de l’environnement.
Pour découvrir comment lancer votre démarche de réduction du gaspillage alimentaire, n’hésitez pas à contacter dès aujourd’hui les équipes d’EQOSPHERE. Ensemble, repensons la restauration collective pour un futur durable.
Vous vous demandez quelles obligations légales s’appliquent à votre entreprise ou collectivité concernant le gaspillage alimentaire ? Cet article explique précisément le cadre réglementaire français, vos obligations légales et comment vous devez agir pour vous conformer.
Les principales lois qui vous concernent
Depuis 2012, la France a progressivement construit une réglementation structurée autour de la lutte contre le gaspillage alimentaire. Trois textes majeurs vous concernent.
Depuis 2016, les distributeurs doivent respecter la hiérarchie de valorisation et ne peuvent plus dégrader des invendus consommables ; les magasins alimentaires > 400 m² doivent proposer une convention de don avec une association.
Entre 2018 et 2020, les lois AGEC et EGALIM ont étendu le champ d’application. Depuis, diagnostic obligatoire pour les opérateurs agroalimentaires (avant le 1er janvier 2021) et toute la restauration collective : diagnostic et démarche obligatoires. Pour la restauration commerciale : pas de diagnostic obligatoire, mais obligation de proposer un contenant pour emporter les restes (‘doggy bag’) depuis le 1er juillet 2021. Ce n’est pas optionnel. C’est une obligation légale.
La loi Climat et Résilience (2021) renforce cette politique en favorisant les coopérations innovantes entre les acteurs locaux pour réduire le gaspillage alimentaire sur les territoires.
Qui est concerné par ces obligations ?
Vous êtes concerné si vous opérez dans l’industrie agroalimentaire, la restauration commerciale (restaurants, cafés), la restauration collective (cantines, restaurants d’entreprise, hôpitaux), ou la distribution (supermarchés, magasins). Les collectivités territoriales sont aussi concernées, particulièrement si elles gèrent des services de restauration collective.
Vos obligations précises
1. Réaliser un diagnostic
C’est l’étape obligatoire de départ. Le diagnostic mesure précisément le volume de gaspillage alimentaire produit par votre organisation, identifie ses sources et ses causes réelles, et quantifie ses coûts. Sans diagnostic rigoureux, vous ne pouvez pas concevoir un plan d’action efficace.
Un bon diagnostic répond à ces questions : combien d’aliments sont gaspillés mensuellement ? À quel stade (approvisionnement, préparation, service) ? Quelles sont les causes (surproduction, mauvaise gestion des stocks, normes d’apparence) ? Quel est l’impact financier ?
2. Concevoir un plan d’action mesurable
Suite au diagnostic, vous devez formaliser un plan d’action avec des objectifs chiffrés de réduction du gaspillage alimentaire, des actions concrètes, des responsables désignés et un calendrier. Ce n’est pas un document vague, mais un engagement formel.
Votre plan doit directement adresser les causes identifiées. Par exemple : si c’est une surproduction, révisez le dimensionnement des portions. Si c’est une mauvaise gestion des stocks, mettez en place un système d’inventaire. Si c’est l’apparence, créez des partenariats avec des associations.
3. Former vos équipes
Bien que non explicitement nommée, la formation est implicitement obligatoire. Vos équipes doivent comprendre les enjeux, les bonnes pratiques et appliquer les changements. Une cuisinière qui ne sait pas adapter les portions générera du gaspillage. Un acheteur qui ne maîtrise pas la prévision créera des invendus.
4. Documenter et suivre vos résultats
Vous devez documenter votre démarche : diagnostic réalisé, plan d’action mis en place, résultats mesurés. Certaines organisations doivent publier annuellement des rapports sur leurs avancées. Ce rapportage vous permet d’ajuster votre stratégie et de justifier votre engagement si vous êtes audité.
Pourquoi faire appel à un expert ?
La réglementation est claire, mais nombreuses sont les organisations qui peinent à obtenir des résultats. Les erreurs les plus courantes : diagnostics superficiels qui n’identifient pas les vraies causes, plans d’action jamais réellement mis en œuvre, formations uniques sans ancrage dans les processus quotidiens, et absence de mesure des résultats.
Notre approche repose sur treize années d’expérience concrète. Nous commençons par un diagnostic approfondi qui identifie les causes profondes du gaspillage alimentaire. Ensuite, nous construisons un plan d’action réaliste et adapté à votre contexte. Nous formons vos équipes selon leurs rôles spécifiques. Enfin, nous mettez en place un suivi régulier qui mesure les résultats réels et permet des ajustements.
Les bénéfices concrets : réduction réelle de votre gaspillage générant des économies directes, conformité légale documentée, renforcement de votre image de marque, et création d’une culture positive autour de l’utilisation responsable des ressources.
Prochaines étapes
Vous avez maintenant une compréhension claire de vos obligations légales. La question n’est plus : « Dois-je agir ? » mais « Comment obtenir des résultats ? »
Nous proposons un diagnostic initial. Lors de cet échange, nous écoutons votre situation spécifique, répondons à vos questions et présentons comment nous pouvons vous accompagner pour construire une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire conforme à la réglementation et génératrice de résultats mesurables.
Prenez rendez-vous dès aujourd’hui pour votre diagnostic gratuit.
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